We're all ripped hymens.
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les affaires pire que d'autres.
Il y a 11 ans
Cheap game
If you like peeling your coagulated blood off your healing wounds, you may want to cut yourself in various fun shapes. Lines, squares, hearts, letters and many more! You could even give your lover the chance of peeling off his or her own name!
So much
Hello, my fellow friend. There is a secret. One I even kept from you, my confident companion. A secret passed to me by my ancersors when I was about your age. I hope you do your best living with it and that you'll take your time to find someone worthy that you can trust. Trust is all.
There is a way of... There is one way of not getting your ass splashed by piss-shitted water while pooping. Put 3-4 toilet paper sheets in the toilet at start. No need for more. More could block it, but you'll live it by yourself.
I love you so much. And now I'm dying.
There is a way of... There is one way of not getting your ass splashed by piss-shitted water while pooping. Put 3-4 toilet paper sheets in the toilet at start. No need for more. More could block it, but you'll live it by yourself.
I love you so much. And now I'm dying.
Do you remember Anne Frank's description of her vagina? I do.
«Everything's pretty well arranged in us women. Until I was eleven or twelve, I didn't realize there was a second set of labia on the inside, since you couldn't see them. What's even funnier is that I thought urine came out of the clitoris. I asked Mother one time what that little bump was, and she said she didn't know. She can really play dumb when she wants to!
But to get back to the subject. How on earth can you explain what it all looks like without any models? Shall I try anyway? Okay, here goes!
When you're standing up, all you see from the front is hair. Between your legs there are two soft, cushiony things, also covered with hair, which press together when you're standing, so you can't see what's inside. They separate when you sit down, and they're very red and quite fleshy on the inside. In the upper part, between the outer labia, there's a fold of skin that, on second thought, looks like a kind of blister. That's the clitoris. Then come the inner labia, which are also pressed together in a kind of crease. When they open up, you can see a fleshy little mound, no bigger than the top of my thumb. The upper part has a couple of small holes in it, which is where the urine comes out. The lower part looks as if it were just skin, and yet that's where the vagina is. You can barely find it, because the folds of skin hide the opening. The hole's so small I can hardly imagine how a man could get in there, much less how a baby could come out. It's hard enough trying to get your index finger inside. That's all there is, and yet it plays such an important role!
Yours, Anne M. Frank »
But to get back to the subject. How on earth can you explain what it all looks like without any models? Shall I try anyway? Okay, here goes!
When you're standing up, all you see from the front is hair. Between your legs there are two soft, cushiony things, also covered with hair, which press together when you're standing, so you can't see what's inside. They separate when you sit down, and they're very red and quite fleshy on the inside. In the upper part, between the outer labia, there's a fold of skin that, on second thought, looks like a kind of blister. That's the clitoris. Then come the inner labia, which are also pressed together in a kind of crease. When they open up, you can see a fleshy little mound, no bigger than the top of my thumb. The upper part has a couple of small holes in it, which is where the urine comes out. The lower part looks as if it were just skin, and yet that's where the vagina is. You can barely find it, because the folds of skin hide the opening. The hole's so small I can hardly imagine how a man could get in there, much less how a baby could come out. It's hard enough trying to get your index finger inside. That's all there is, and yet it plays such an important role!
Yours, Anne M. Frank »
Celine Dion creates death
I guess Celine Dion is gonna squirt a new album: "Lost in the toilet".
Each song for each step, from the fuck night to the full cover mediatisation.
The fetus tought of escaping fame but should now be realizing in heaven how selfish and a mistake it was.
Each song for each step, from the fuck night to the full cover mediatisation.
The fetus tought of escaping fame but should now be realizing in heaven how selfish and a mistake it was.
Cheezy
Tobacco goes into a room (sneaky way), along the walls (no sound), into the bassinette (third step of the podium) and kills a baby (no ransom).
P.S. Yeah, I can be cheezy.
P.S. Yeah, I can be cheezy.
Pute quadragénaire,
Tu fais mille caprices quand je te sert du fromage en grain à mon travail: "Vous ne prenez pas Interac: C'est la première et la dernière fois que je viens ici", "Vous mettez du p'tit lait? J'pensais que vous ne deviez pas en mettre..." et "Non! Ne le taponnez pas!".
Alors je te réponds, vieille pute: "Écoutez, mon objectif est que vous soyez heureuse de notre produit, mais il y a un minimum de manipulation à effectuer pour vous le mettre dans un sac..." et je pense "Tu as plein de troubles obsessifs-compulsifs, tu n'as pas d'amis, tu ne contrôles pas ta vie: Va donc te suicider.".
Tu fais mille caprices quand je te sert du fromage en grain à mon travail: "Vous ne prenez pas Interac: C'est la première et la dernière fois que je viens ici", "Vous mettez du p'tit lait? J'pensais que vous ne deviez pas en mettre..." et "Non! Ne le taponnez pas!".
Alors je te réponds, vieille pute: "Écoutez, mon objectif est que vous soyez heureuse de notre produit, mais il y a un minimum de manipulation à effectuer pour vous le mettre dans un sac..." et je pense "Tu as plein de troubles obsessifs-compulsifs, tu n'as pas d'amis, tu ne contrôles pas ta vie: Va donc te suicider.".
Avec raison
Pour souper rapidement en travaillant hors de chez moi, je m'étais préparé un «smoothie» dans un gros bock à bière. Le soir, en revenant, je me suis imaginé que si on m'attaquait, je n'hésiterais pas à m'en servir comme arme, à le briser sur la tempe de l'assaillant. Être violent avec raison, ça doit être fabuleux: un grand craquement et des éclats de verre.
Damn fuckin' badlucks
J'ai emprunté une caméra.
J'ai brisé le port mini-firewire.
(Le port mini-firewire sert à importer)
Le port vient avec la carte mère.
Morale de base: je répare ce que je brise.
Ça va me couter plus de 200$ de réparation
La caméra vaut 400$ usagée.
Je vais acheter la caméra pour mon ami.
Je vais garder celle qui est brisée.
Cool, je vais avoir une caméra...
Mais maudites soient les salopes de malchances.
J'ai brisé le port mini-firewire.
(Le port mini-firewire sert à importer)
Le port vient avec la carte mère.
Morale de base: je répare ce que je brise.
Ça va me couter plus de 200$ de réparation
La caméra vaut 400$ usagée.
Je vais acheter la caméra pour mon ami.
Je vais garder celle qui est brisée.
Cool, je vais avoir une caméra...
Mais maudites soient les salopes de malchances.
Les filles d'un band
Ce message a été effacé par le possesseur de la page facebook où la photo était affichée.
La nouvelle fille en ville
Shawinigan est une si petite ville avec un pourcentage si élevé d'hommes que dès qu'une nouvelle belle femme s'y installe, il ne faut pas plus d'une semaine pour que tous la remarquent et tentent de se l'approprier.
L'homme n'a pas même le temps d'évaluer si elle ferait réellement pour lui une bonne compagne et il doit agir rapidement, car bientôt elle aura succombé sous les charmes d'un autre qui sera vraisemblablement un de ses amis.
Ladite disproportion hommes/femmes est également responsable d'autres attitudes relationnelles qui freinent l'épanouissement. D'entre elles, on compte une grande ténacité des hommes envers des amours médiocres et le retour vers les ex-compagnes.
L'homme n'a pas même le temps d'évaluer si elle ferait réellement pour lui une bonne compagne et il doit agir rapidement, car bientôt elle aura succombé sous les charmes d'un autre qui sera vraisemblablement un de ses amis.
Ladite disproportion hommes/femmes est également responsable d'autres attitudes relationnelles qui freinent l'épanouissement. D'entre elles, on compte une grande ténacité des hommes envers des amours médiocres et le retour vers les ex-compagnes.
Un doigt
Maxime
À partir de combien de relations sexuelles avec la même partenaire peut-on insérer un doigt dans son anus?
Valérie
Après trois, tout est permis.
Maxime
Ok. Merci.
À partir de combien de relations sexuelles avec la même partenaire peut-on insérer un doigt dans son anus?
Valérie
Après trois, tout est permis.
Maxime
Ok. Merci.
Bas Niveau
C'est quand on téléphone ou on se fait téléphoner par des inconnu(e)s pour les rencontrer ensuite que l'on se rend compte combien la voix ne représente que la pointe de l'iceberg. Ex. : Grosse pas belle & vieux violeur.
P.-S. «La pointe de l'Iceberg» est une expression qui prend tout son sens si la grosse pas belle téléphone en prenant son bain.
P.P.-S L'information annexée en «Post Scriptum» est ainsi présentée, car elle représente de la méchanceté gratuite de bas niveau.
P.-S. «La pointe de l'Iceberg» est une expression qui prend tout son sens si la grosse pas belle téléphone en prenant son bain.
P.P.-S L'information annexée en «Post Scriptum» est ainsi présentée, car elle représente de la méchanceté gratuite de bas niveau.
Sitting in the bus, thinking
That hobo dosen't smell bad at all...
(Minutes passes)
Oh, and now he grabs his cellphone...
Me gratter
Les ongles longs de femmes, personnellement, je trouve ça repoussant, mais je peux comprendre que certains apprécient. Seulement, ceux de la femme que j'ai vue il y a quelques jours n'étaient vraisemblablement longs que par coutume et leur propriétaire ne devait pas les avoir regardés depuis longtemps.
La petite matière dure expulsée par et à chacun de ses bouts de doigts était jaune et déformée par ces espèces de lignes en relief (un peu comme les traces d'un râteau sur le sol) qui apparaissent avec l'âge. Je les imagine (à peine) me gratter et ça me dégoûte.
Obèse
Je me demande ce qui passe dans la tête des grosses personnes. Ne devrait-il pas logiquement y passer : «Si je ne mange plus de sucreries et de trucs gras, je ne serai plus obèse» ?
Astuces
Un homme d'un peu plus de 40 ans me dit un jour, à travers sa barbe de quelques jours et une série de gesticulations censées appuyer ses pensées : «Les moins beaux doivent user d'astuces pour conquérir les femmes.»
Soit puissant ou fou
Ce texte est en écriture et n'a pas encore de fin, mais vous pouvez le commencer maintenant et le relire plus tard alors qu'il aura changé. Intéressante particularité, non?
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Un jour qu'il devait avoir environ vingt-deux ans, il avait suivi sa mère chez son nouvel amoureux, un vieil homme un peu courbé qui ne regardait jamais les gens dans les yeux et qui avait fait du culturisme sans arrêt depuis environ 60 ans. Il avait fait la morale à l'enfant par rapport à combien l'apparence du corps était importante: «Tu vas trouver ça bizarre, mais les femmes regardent les fesses et les seins des hommes» et combien un emploi payant était important: «Ils cherchent beaucoup de plombiers en ce moment. Ils font du 35$ de l'heure.».
Bien qu'il eut des muscles en santé exceptionnelle, on aura appris son décès quelque mois plus tard. Ses organes vitaux qui n'étaient pas des muscles avaient simplement pourri à l'intérieur sans que quiconque ne s'en doute, sauf lui si, par exemple, il vomissait de la bile ou pissait du sang... Grâce à sa mère qui avait couché avec quelques-uns, le jeune homme avait déjà connu des vieux mourants. Il n'avait pas été surpris par le fait que celui-ci, comme les autres, avait gardé en secret ses maux, pour tout le monde et jusqu'à l'entrée à l'hôpital.
Lors de sa jeunesse, ce même homme passait des heures à fixer un point noir dessiné sur son mur de façon à pratiquer sa concentration. Il y restait des heures entières... Il disait même qu'à l'église, il faisait l'exercice des talents en fixant la nuque de gens quelques sièges devant et pour y piquer une grande dose de concentration. Les personnes se retournaient prétendument avec un air inquiet. Il était soit puissant ou fou.
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Un jour qu'il devait avoir environ vingt-deux ans, il avait suivi sa mère chez son nouvel amoureux, un vieil homme un peu courbé qui ne regardait jamais les gens dans les yeux et qui avait fait du culturisme sans arrêt depuis environ 60 ans. Il avait fait la morale à l'enfant par rapport à combien l'apparence du corps était importante: «Tu vas trouver ça bizarre, mais les femmes regardent les fesses et les seins des hommes» et combien un emploi payant était important: «Ils cherchent beaucoup de plombiers en ce moment. Ils font du 35$ de l'heure.».
Bien qu'il eut des muscles en santé exceptionnelle, on aura appris son décès quelque mois plus tard. Ses organes vitaux qui n'étaient pas des muscles avaient simplement pourri à l'intérieur sans que quiconque ne s'en doute, sauf lui si, par exemple, il vomissait de la bile ou pissait du sang... Grâce à sa mère qui avait couché avec quelques-uns, le jeune homme avait déjà connu des vieux mourants. Il n'avait pas été surpris par le fait que celui-ci, comme les autres, avait gardé en secret ses maux, pour tout le monde et jusqu'à l'entrée à l'hôpital.
Lors de sa jeunesse, ce même homme passait des heures à fixer un point noir dessiné sur son mur de façon à pratiquer sa concentration. Il y restait des heures entières... Il disait même qu'à l'église, il faisait l'exercice des talents en fixant la nuque de gens quelques sièges devant et pour y piquer une grande dose de concentration. Les personnes se retournaient prétendument avec un air inquiet. Il était soit puissant ou fou.
Majeure
Un homme récupère son tissu propre d'une laveuse de buanderie. À côté, pensant les machines assez bruyantes pour couvrir leur conversation, un petit et un gros homme discutent. Alors, une phrase se manifeste plus audible que les autres. Formulée par le plus gras, dans sa chemise beige, d'un grand sourire barbu et étrange à cause de ses lèvres restant fermées, cachant en fait des dents brunes: «J'suis content qu'a soit dev'nue majeure: Maintenant, cé pus de l'inceste!»
Rosée
Un enfant ouvre une porte, fait quelque pas et trouve la chevelure frisée et grasse de son père gisant par terre, la figure sur le sol. Il est inerte parce qu'il est très saoul.
Le jeune observateur retourne à sa chambre et opte pour un film, Singapore Sling, une sale histoire mêlant folie, meurtre et sexualité. Un film qui clairement ne devrait pas être écouté par un enfant de cet âge. Pendant ce temps, le père, avec bien du mal se lève et se déplace vers une autre pièce.
Un peu plus d'une demie-heure plus tard, l'enfant regarde sa porte de chambre et, par ce qui lui semble de l'instinct, se lève. une senteur étrange l'attire à travers le couloir.
De son point de vue, à sa gauche, la porte de la salle de bain est entrouverte. La lumière est allumée. Il s'en approche tout en signalant sa présence en parlant à haute voix. ll donne quelques coups sur la porte de façon à pouvoir entrer sans heurter quelconque timidité.
Puis, sans réponse, il pousse doucement la porte et révèle la même mixture de jus de cuir chevelu et de fibres capilaires que tout à l'heure. Le père est assis sur la toilette, les pantalons baissés et le torse sur les cuisses, encore endormi.
Le jeune homme donne des petits coups sur l'épaule du père, le prend par les épaules et tente de le redresser. Le patriarche retombe plusieurs fois avant d'ouvrir les yeux ascynchroniquement, tentant en vain de leur faire percer une étrange couche de gris (les yeux dans la fucking graisse de binne, comme on dit au Québec)
-Papa, tu devrais te coucher!
-Gnagn Pbllub...
Sans réponse...
La senteur refait surface et décidément, ça ne provient pas des chiottes, non plus de la fétidité d'une haleine en décomposition...
Quittant la salle de bain, guidé par l'effluve nauséabonde, l'enfant se dirige plus en amont du couloir, vers la cuisine. De son point de vue, à chaque pas, le contenu d'un poêlon se révèle lentement. D'abord, il voit une masse rouge reluisante et comprend vite qu'il ne manquerait que très peu de morceaux pour obtenir un petit animal vivant, un écureuil, car son père en fait la trappe dans la forêt avoisinante.
Les pattes et la tête, semblant avoir été tranchées ou arrachées avec la difficulté que l'on reconnait aux ivrognes. Au niveau du corps, les côtes et la colonne vertébrale, blanches sous la peau semi-transparente, finissent de substituer l'horreur à ce que le jeune se rappelait comme une petite bête heureuse gambadant d'un arbre à l'autre.
Il faut préciser que, suivant les règles de la cuisson non-surveillée, la partie supérieure de l'ex-animal est gorgée de sang, tandis que le bas se trouve totalement carbonisé, car le père du gamin, sortant de son palais en s'aggripant partout pour ne pas tomber et en grommelant quelques inintelligibles délires, empoigne la carcasse de rongeur et avance les dents vers le milieu, la colonne vertébrale, visant maladroitement la chair rosée, juste à point entre le sang et le noir...
C'est à ce moment que le jeune homme tourna la tête et s'évita un traumatisme de plus.
Le jeune observateur retourne à sa chambre et opte pour un film, Singapore Sling, une sale histoire mêlant folie, meurtre et sexualité. Un film qui clairement ne devrait pas être écouté par un enfant de cet âge. Pendant ce temps, le père, avec bien du mal se lève et se déplace vers une autre pièce.
Un peu plus d'une demie-heure plus tard, l'enfant regarde sa porte de chambre et, par ce qui lui semble de l'instinct, se lève. une senteur étrange l'attire à travers le couloir.
De son point de vue, à sa gauche, la porte de la salle de bain est entrouverte. La lumière est allumée. Il s'en approche tout en signalant sa présence en parlant à haute voix. ll donne quelques coups sur la porte de façon à pouvoir entrer sans heurter quelconque timidité.
Puis, sans réponse, il pousse doucement la porte et révèle la même mixture de jus de cuir chevelu et de fibres capilaires que tout à l'heure. Le père est assis sur la toilette, les pantalons baissés et le torse sur les cuisses, encore endormi.
Le jeune homme donne des petits coups sur l'épaule du père, le prend par les épaules et tente de le redresser. Le patriarche retombe plusieurs fois avant d'ouvrir les yeux ascynchroniquement, tentant en vain de leur faire percer une étrange couche de gris (les yeux dans la fucking graisse de binne, comme on dit au Québec)
-Papa, tu devrais te coucher!
-Gnagn Pbllub...
Sans réponse...
La senteur refait surface et décidément, ça ne provient pas des chiottes, non plus de la fétidité d'une haleine en décomposition...
Quittant la salle de bain, guidé par l'effluve nauséabonde, l'enfant se dirige plus en amont du couloir, vers la cuisine. De son point de vue, à chaque pas, le contenu d'un poêlon se révèle lentement. D'abord, il voit une masse rouge reluisante et comprend vite qu'il ne manquerait que très peu de morceaux pour obtenir un petit animal vivant, un écureuil, car son père en fait la trappe dans la forêt avoisinante.
Les pattes et la tête, semblant avoir été tranchées ou arrachées avec la difficulté que l'on reconnait aux ivrognes. Au niveau du corps, les côtes et la colonne vertébrale, blanches sous la peau semi-transparente, finissent de substituer l'horreur à ce que le jeune se rappelait comme une petite bête heureuse gambadant d'un arbre à l'autre.
Il faut préciser que, suivant les règles de la cuisson non-surveillée, la partie supérieure de l'ex-animal est gorgée de sang, tandis que le bas se trouve totalement carbonisé, car le père du gamin, sortant de son palais en s'aggripant partout pour ne pas tomber et en grommelant quelques inintelligibles délires, empoigne la carcasse de rongeur et avance les dents vers le milieu, la colonne vertébrale, visant maladroitement la chair rosée, juste à point entre le sang et le noir...
C'est à ce moment que le jeune homme tourna la tête et s'évita un traumatisme de plus.
Drogue conventionnelle
Déjà, en sortant les glaçons, avant même la première gorgée, la
frénésie du sucre et de la caféine qui s'éveillent en moi et me font
sourire!
frénésie du sucre et de la caféine qui s'éveillent en moi et me font
sourire!
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P.S. Que pensez-vous de "mémoire" au lieu de "frénésie"?
Vampires
On m'a dit hier, après que je me soit exprimé en toute franchise, que je suis susceptible. Ça m'a fait réfléchir, parler et finalement, écrire ici.
Lorsqu'on me communique quelque chose dont je suis incertain de la signification et surtout si je décèle des possibilités d'une insulte préméditée ou non, je pose des questions et j'affirme mes perceptions.
Il y a tellement de gens qui sont portés par des préjugés et de la violence (à plusieurs intensités) et j'ai trop de respect pour moi même pour les laisser aller à eux-mêmes alors que je risquerais de douter que j'ai été en contact avec quelqu'un d'intéllectuellement sale (et salissant).
Avec ces constats, mes perceptions deviennent plus justes qu'une interprétation sans fondements. Avec ces constats, je pèse le pour et le contre de garder ou d'éloigner cette personne.
Ainsi, je me suis demandé aujourd'hui pourquoi une telle recherche de clarification a été désagréable pour une poignée de personnes à qui j'ai dévoué une telle pratique. J'ai définis à ce sujet deux hypothèses que je vous présente ici comme conclusion. D'abord, en toute honnêteté envers moi-même, je ne commence pas toujours ma série de questions et d'affirmations par «Pardonne-moi de t'interrompre, car il me faut de parler de comment j'ai compris ce que
tu viens de dire. Je ne me suis pas bien sentit et je veux être honnête avec toi. D'ailleurs, je t'invite à l'être aussi.», ce qui peut être essentiel pour ceux qui ne sont pas habitués à discuter à
propos des discussions: Ils peuvent percevoir cela comme de l'agressivité... Peut-être que certaines personnes ne croient pas que la juste morale devrait proscrire les malentendus précurseurs d'irrespect. Peut-être vivent-elles de notions de respect égocentrique...
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